Face à l’escalade des violences dans les hôpitaux, la solution ALL ONE by H.CALL s’impose comme une alternative pragmatique. Conçue par et pour les soignants, elle propose un système d’appel à renfort adapté aux réalités du terrain.
Un constat alarmant : des soignants en première ligne
Dans les établissements hospitaliers, les agressions ne sont plus l’exception. Plus d’un tiers des professionnels subissent régulièrement des violences physiques. Cette tension quotidienne fragilise la sécurité et l’efficacité des soins. Les unités de psychiatrie, les services d’urgence, mais aussi d’autres secteurs, deviennent des zones de vigilance extrême. Les soignants, souvent seuls et mobiles, doivent faire face sans outils adaptés.
ALL ONE by H.CALL : une solution pensée depuis le terrain
Une technologie née d’un besoin réel
L’histoire de ALL ONE by H.CALL commence par une rencontre : celle d’un ingénieur et d’un professeur en psychiatrie. Leur constat est clair : les systèmes d’alerte classiques, hérités du monde bancaire ou commercial, sont inadaptés aux environnements hospitaliers. Ils ne prennent pas en compte la mobilité des soignants ni leur mode de communication en situation critique.
Une innovation guidée par l’usage
Plutôt que d’imposer un outil, ALL ONE by H.CALL s’ancre dans la réalité hospitalière. Le système privilégie la réactivité, la simplicité d’usage, et l’ergonomie. Chaque composant répond à une fonction précise, éprouvée sur le terrain, avec une seule ambition : protéger les équipes soignantes sans perturber leur organisation.
Un écosystème technologique agile et autonome
Une infrastructure robuste et modulaire
Le dispositif repose sur un réseau de Box ONE interconnectées par radio. Ces unités vocales et lumineuses reçoivent des alertes manuelles ou automatiques via des bips radio portatifs, muraux ou fixes. L’autonomie énergétique, la mémoire embarquée et la résilience du système assurent une continuité de service même en cas de panne.
Une plateforme de supervision centralisée
En mode réseau IP, ALL ONE by H.CALL permet une gestion centralisée. Les alertes sont transmises à distance, les données sécurisées dans un Data Center, et les paramétrages accessibles en ligne. Le logiciel Web H.CALL ONE, accessible via navigateur, offre une supervision graphique, sans contrainte d’installation client.
ALL ONE by H.CALL : simplicité, flexibilité, efficacité
Une solution économique et facile à déployer
Dans un contexte de tensions budgétaires, la solution reste accessible. Aucun déploiement lourd n’est requis. Le système est « plug and play », personnalisable à distance, et autonome une fois installé. Il ne nécessite ni formation complexe, ni maintenance constante.
Des usages multiples, au-delà de l’appel à renfort
Le dispositif peut également :
- diffuser des rappels vocaux de sécurité ;
- envoyer des messages d’information programmés ;
- déclencher des alertes techniques ;
- accompagner des procédures sensibles.
Cette polyvalence ne compromet pas sa mission première : assurer la sécurité des soignants dans l’urgence.
Une démarche guidée par l’écoute et l’expérience
Une conception collaborative et évolutive
Chez H.CALL, chaque fonctionnalité naît du dialogue avec les utilisateurs. Si une hypothèse ne fonctionne pas, elle est repensée. Cette rigueur méthodologique garantit une solution fonctionnelle, pas une simple promesse commerciale. L’objectif : faire du réel le seul critère de validation.
Une ambition portée par l’engagement
Déjà présent dans de nombreux établissements, H.CALL souhaite étendre l’usage de ALL ONE by H.CALL. Non pour imposer un produit, mais pour répondre à une demande croissante. Le développement continu du logiciel, le renforcement des services cloud, et l’ajout de périphériques témoignent de cette dynamique.
Une solution discrète mais essentielle
ALL ONE by H.CALL ne révolutionne pas l’hôpital. Il le sécurise, efficacement, silencieusement. Dans un environnement sous tension, cette technologie devient un maillon vital. Parce qu’un soignant bien protégé est un soignant plus serein, plus disponible. Et parce que la sécurité du soin commence par celle de ceux qui soignent.
